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DE GUSTAVE FLAUBERT.

Chansons. » Je n’avais peut-être pas besoin de le dire ?

Voilà. Sur ce, je t’embrasse.


1270. À CHARLES-EDMOND.
Mardi soir. [20 février 1872.]
Mon cher vieux,

Madame Sand m’a écrit hier qu’elle ferait cette semaine un article sur Dernières Chansons.

Donc, c’est chose bien convenue, ne vous en occupez plus. Je voulais vous demander un service. Pouvez-vous placer dans votre journal un brave garçon qui s’appelle dans les petits journaux Jules Dementhe et de son vrai nom Jules Rohaut ? Je vous le recommande comme un homme très intelligent, probe et pouvant tout faire, depuis les échos jusqu’à la satyre [sic] en vers ; il est très au courant de la trituration des feuilles.

En lui donnant actuellement de quoi vivre vous m’obligeriez.

Tout à vous, mon bon.

P.-S. — Ma recommandation n’est pas banale !


1271. À GEORGE SAND.
[Paris, entre le 20 et le 28 février 1872.]

Comme il y a longtemps que je ne vous ai pas écrit, chère maître ! J’ai tant de choses à vous