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DE GUSTAVE FLAUBERT

Commandeur et Berton le père pour le chevalier. Ces messieurs m’ont proposé le fils, qui est déjà engagé à l’Odéon ; j’ai dit merde très fortement.

Comme le Moniteur m’a demandé des pièces inédites, il ne serait pas mal, d’ici à la pièce, d’en publier trois ou quatre pour soutenir l’attention sur notre pauvre vieux.

Donc tu ferais bien d’en copier quelques-unes, qui ne soient ni politiques ni religieuses, telles que La fille du fossoyeur, Paix des Neiges etc… Mais prends garde de perdre le cahier, nom de Dieu !

Je t’assure que je déploie une belle activité.

Embrasse ta mère pour moi.

Ton

Tu as dû recevoir une lettre de Me Porcher.

D’Osmoy m’a écrit. Il est à Trouville jusqu’au 22, rue de Bonsecours, 20.


1054. À PHILIPPE LEPARFAIT.

Entièrement inédite.

Mardi matin.

Tu es beau, et je crois de plus que tu as fait une bonne affaire.

Prie Mulot d’écrire des lettres de remerciement à toutes les personnes qui se sont mêlées du concert. Il me les enverra, je les signerai. Cela me semble indispensable et urgent. Ne pas oublier de m’envoyer les adresses de ces braves gens.

De qui le compte rendu du concert dans le Journal de Rouen ?