est debout dans l’île de Tibre. Je suis la Force, la Beauté le Maître ! Ennoïa est Minerve. Je suis Apollon dieu du jour ! Je suis Mercure le Bleu ! Je suis Jupiter le Foudroyant ! Je suis le Christ ! Je suis le Paraclet ! Je suis le Seigneur ! Je suis ce qui est en Dieu ! Je suis Dieu même !
Ah ! si j’avais de l’eau bénite !
Non !… plus rien !… ah !
Oh ! comme ces flammes couraient !…
Allons donc ! Quelles illusions ! l’Esprit de Dieu ne descend pas jusque-là ! Et l’âme une fois rivée au mal, il n’est plus quoi qu’ils disent…
Cependant… si, par un effort suprême, elle secouait ce fardeau de la matière qui l’écrase… pourquoi ne remonterait-elle pas à Dieu ?… Et alors… l’intervalle de la vie disparaissant… toutes les œuvres qu’elle comporte se trouveraient indifférentes.
et la figure cachée sous des masques de bêtes fauves.