Page:Flaubert - Notes de voyages, II.djvu/346

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enfin, je le retrouve sur le devant de sa porte. — Galop au sieur Parrocel.

Bureau du chemin de fer sur la Canebière ; sentiment de débarras, de retour, de bien-être. — Je pars ! (M. de lès-Campenne fils) seul dans une calèche ; mes affaires se débouclent dans la gare.

Deux employés de chemin de fer atroces ! Enfin ils s’en vont, on s’endort. — À Lyon, Saulcy. — Pour compagnons, un chirurgien de marine et son chien, mon bureaucrate militaire qui va à Saint-Quentin, au delà ; l’Alsacien est descendu en route pour aller à Strasbourg. — Déjeuner solide à Dijon. — Ennui de l’après-midi, chaleur. Quel sot pays que la France ! — Fontainebleau, Melun, la gare !

Le boulevard en été. — Ma maison vide. — Bousculade pour aller chez Feydeau : on me sert à dîner. — Visite chez Mme Pradier, Masquillier, Person, de Tourbey : tout le monde absent. — Crique : « Flaubert ! c’est toi, Flaubert ! » ; elle pleurait : maladie de son neveu. — Souper au Café Anglais. — Je dors sur mon divan. — Déjeuner au Café Turc. — Visite à la Tourbey, Sabatier, Mme Maynier ; Mlle  a une loupe dans la gueule. — Auteuil, le Parc des Princes, Thérèse, dîner. — Le soir, de Tourbey.

Lundi. — Armurier, fourreur, Duplan, etc., etc. — Café de Foy, Boyer. — Auteuil. — Pradier, Janin, de Pène, de Tourbey. — Dîner chez Feydeau, pas fort. — Guimont, Plessy, A. Dumas fils, Uchard, Scholl, Saint-Victor, Pasquier, re-Boyer et son épouse ; Person en matelot, perruque rouge. Comme le vrai est peu compris !!!

Mardi. — Courses encore ! Sabatier, Sainte-Beuve,