vant moi ? Mettez tout ici, laissez-nous ! Ah ! Mme de Mérilhac !
Chère maman, ne te fais donc pas tant de mal pour une… intrigante de cette espèce.
Embrasse-moi, Thérèse ; tu as vu clair, toi ! tu es la seule tête forte de la maison. (Désignant Paul et Valentine avec dédain.) On n’arrive à rien avec des caractères comme ceux-là.
Madame !
Mais, ce n’est pas sa faute.
Qu’en sais-tu ? que veux-tu que je te dise, moi ? Monsieur a ses idées, Monsieur a ses allures… Monsieur est un libre penseur ! tout cela peut fort bien ne pas convenir à tout le monde ! et si Mme de Mérilhac est inexcusable d’avoir agi de cette façon-là à mon égard, je suis bien forcée de reconnaître qu’elle n’a peut-être pas complètement tort envers Monsieur.
J’excuse votre injustice en considération de votre désappointement.
Une place sans laquelle, certainement, je n’aurais pas consenti…
À quoi ?