Page:Flaubert - Théâtre éd. Conard.djvu/498

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
494
THÉÂTRE.

Madame de Mérilhac.

Madame Duvernier plutôt.

Madame de Grémonville, à Mme Duvernier.

Madame !

Madame Duvernier, à Mme de Grémonville.

Vous plutôt.

Madame de Grémonville, à Mme de Mérilhac.

Non, vous !

Madame de Mérilhac.

Non !

Madame Duvernier, à Mme de Grémonville.

Vous.

Madame de Grémonville.

Soit ! (À Paul.) Toute faute, Monsieur, doit être suivie d’une expiation, et malgré les objections que vous pourrez faire…

Paul.

Je n’en ferai aucune, Madame !

Madame de Grémonville.

Après les événements déplorables que je ne veux pas rappeler…

Amédée, à part.

Très bien !

Madame de Grémonville.

…et avant que ma fille ne recommence d’enchaîner sa destinée à la vôtre, il faudrait nous prouver, c’est le moins, la sincérité de votre repentir par une conduite à la fois morale et régulière.