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livre ii.

N’auraient pas fait le moindre pas
Pour voir si l’auge était remplie.
Ils l’aimaient bien pourtant, mais ils n’y pensaient pas.
Un jour on le trouva mort de faim dans sa cage.
Ah ! quel malheur ! dit-on ; las ! il chantait si bien !
De quoi donc est-il mort ? Certes, c’est grand dommage ;
Le corbeau crie encore et ne manque de rien.