Cette page a été validée par deux contributeurs.
« Article Paris,
Ta poudre de riz
D’une éteinte flamme
M’auréole l’âme.
Si tes yeux sont verts,
Mon cœur est pervers.
Ta désespérance,
Oh ! quelle attirance !
Laisse moi t’aimer,
et me consumer ! »
Je dis et m’élance.
Mais, motus, silence !
Faut pas s’emballer....
Voici s’en aller
Toute mon essence,
En déliquescence !!