Page:Formey - Mélanges philosophiques, Tome 2, 1754.djvu/358

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

critiques. Je les ai écrites dans l’intention d'amuser un ami auquel je pou- vais communiquer toutes mes pensées, même les moins mûres.

Si vous souhaitez donc, Monsieur, que je vous aie quelque obligation du service que vous me rendez en faisant parvenir mon nom hors de ce pays, vous aurez la bonté d'avertir vos lecteurs que j’ai composé ces méditations il y a près de douze ans et que c’est un des premiers fruits de mes études. Ce seul mot d’avertissement tiendra lieu de toutes les excuses que vous et moi serions obligés de faire à nos lecteurs.

J’ai l’honneur d’être

Monsieur,

votre très humble

et très obéissant

serviteur.

SULZER.

A Berlin le 12 d’août 1751.