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Sakountalâ[1].

3° Le Raghou vansa, ou histoire de la famille de Raghou, poëme historique en XIX chants.

4° Le Mêghadoûta ou Nuage messager, poëme élégiaque, rempli de descriptions où se développent à l’aise toutes les qualités du poëte, lorsque, décrivant les chagrins de l’absence, il veut faire partager à la nature entière sa tristesse et ses ennuis.

M. André Lefèvre a donné, du Mêghadoûta, une élégante traduction en vers, aussi fidèle que la poésie française pouvait le permettre[2].

5° Le Ritou Sanhara, ou Cycle des saisons, poème descriptif en six parties correspondant aux six saisons qui composent l’année, suivant les Hindous.

6° Les sept premiers chants du Koumâra Sambhava, qui en compte vingt-deux, et dont les quinze derniers, qu’on croyait perdus, s’impriment en ce moment, à Bénarès, dans le journal sanskrit-anglais « le Pandit. »

  1. Sakountalâ a été introduit sur la scène française, sous la forme d’un ballet, par M. Th. Gautier.
  2. Virgile et Kâlidâsa. Paris, 1866, in-12.