Page:Foucaux - La Reconnaissance de Sakountala.djvu/59

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Si elle ne se tourne pas volontiers du côté de mon visage, sa vue, le plus souvent. n’a pas d’autre objet. »

dans la coulisse. Allons ! allons ! Ermites, réunissez-vous pour protéger les animaux de l’ermitage, car le roi Douchmanta est venu pour s’amuser à chasser ;

« Déjà la poussière, frappée par le pied des chevaux, et pareille à une volée de sauterelles aux rayons du soleil couchant, tombe sur les arbres de l’ermitage, dont les branches sont couvertes de vêtements d’écorce qu’on y a suspendus pour les faire sécher. »

Et de plus :

« L’une de ses défenses fixée dans un tronc d’arbre qu’il a frappé avec violence, les pieds embarrassés par la haie de lianes qui l’arrête, image vivante de nos mortifications, un éléphant, dispersant le troupeau de nos gazelles, est entré dans la forêt, effrayé à la vue du char du roi. » Les trois jeunes filles prêtent l’oreille avec effroi.)|d|n|sm}}

le roi, à part. Ah ! quel contre-temps ! Les gens de la ville, qui sont à ma recherche, envahissent la forêt consacrée. Allons ! il faut retourner en arrière !

les deux amies. Seigneur, nous sommes