Page:Foucaux - La Reconnaissance de Sakountala.djvu/99

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commencée, les ombres des vampires, jaunâtres comme les nuages du crépuscule et errantes autour de l’autel qui porte le feu sacré, se meuvent en foule, apportant la crainte avec elles. »

le roi. Me voici, me voici, j’y cours !

(Il sort en prononçant ces mots.)
FIN DU TROISIEME ACTE.