Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/28

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teau. Rien n’est plus charmant que de les voir travailler, sur-tout, s’il leur tombe sous la main des Enfans de famille ou quelqu’Étranger. Avec combien de politesses, d’attentions & de procédés obligeans ne le dépouillent-ils point ! que de complaisance & de douceur ! que de paroles consolantes ! Peu s’en faut que le pauvre dépouillé ne les remercie encore de savoir réduit à sa dernière chemise. À propos de voleurs de cette espece, j’ai vû à Toulouse un