Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/42

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Provinces que les Regnicoles affament. Combien en voit-on tous les jours qui, entraînés par l’attrait du plaisir & du libertinage, viennent à Paris dissiper crapuleusement en deux ou trois soirées, ce qui suffiroit à les maintenir chez eux avec honneur des années entières ! Combien de peres dénaturés y mangent le patrimoine de leurs enfans ! Combien d’enfans perdus de débauches y dévorent la succession de leurs peres ! Que de jeunes gens desti-