l’action du milieu, troublent la diffusion de la chaleur en
l’assujétissant à une condition accidentelle.
149.
On peut aussi considérer sous un autre point de vue cette
équation (B), qui se rapporte à l’état de la surface ; il
faut auparavant déduire une conséquence remarquable du
théorème III (art. 140). Nous conserverons la construction
rapportée dans le corollaire du même théorème (art. 141).
Soient les coordonnées du point et
celles d’un point infiniment voisin de et marqué sur
la droite dont il s’agit ; désignons par et les températures
des deux points et prises pour le même instant,
on aura
donc le quotient
ainsi la quantité de chaleur qui s’écoule à travers la surface
ω placée au point m, perpendiculairement à la droite, est
Le premier terme est le produit de par et par
Cette dernière quantité est, d’après les principes de la
géométrie, l’aire de la projection de ω sur le plan des et