Page:Fréchette - Poésies choisies, I, 1908.djvu/173

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L’assiégeant se rangeait sur l’immense plateau...
Or Montcalm l’avait dit : ― L’on me verra, plutôt
Que de céder au nombre,
Jusqu’au dernier moment défendre sans pâlir
Mes derniers bastions, et puis m’ensevelir
Sous leur dernier décombre !