Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/57

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Regarderont bientôt dans vos yeux consternés,
Vous seuls pouvez connaître, ô chers abandonnés,
Les longs baisers d’adieu que se donnent tes lèvres,
Si graves à la fois et si remplis de fièvres
Qu’on ne peut distinguer au fond des nuits de feu
S’ils viennent de la terre ou s’ils viennent de Dieu.