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qui leur manque généralement, mais j’ai tenu à les livrer écrites au public, telles qu’au Tréteau de Tabarin je les lui ai livrées chantées.

Ai-je eu tort ?… Ai-je eu raison ?…

Entre nous, si je ne croyais pas avoir raison, je ne l’aurais pas fait !

Et, si les lecteurs veulent bien continuer à mes Rosseries — qui ne furent jamais méchantes ni injurieuses, parce que je trouve qu’on peut blaguer sans insulter — la faveur qu’elles obtinrent, le plus souvent qu’elles purent, auprès des auditeurs, je me déclarerai enchanté, et je suis sûr que mon éditeur ne s’en plaindra pas.

FURSY.


28 octobre 1897