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TABLE ANALYTIQUE

��Adoption. L idoptloB ■ M ponr pnneipe la detoir de perpétotr le oalU der /lestiqae, pag-ds S&, &8 ; — n'itait permise qu'à e«Qi qui n'aTsient pas d'enfants, iO, 57 ; ses effets religicui et civils, 8< et 87.

Affranchis, 128. Droit que les patrons coneervaient rar eu, StVSlS; leur

nalogie avec !«• aaci»DS clienlt, ibid.

Agnation. Quelle sorte de parente c'était, ehei l«a Romains et ebac les Grecs, 8-62; 121-122.

Agnl, divinité du vieu âges dans tOQta la race indo-européenne, 3ft, 7t.

Aînesse (Droit à'), établi à l'orieine des sociétés anciennes, 89-93; disparaSt peu à pea, 303 et sviT.

Ambarrales, 72, 183-184.

Ampblotyonies, nombreuses dans l'iDcienus Ortea, tt9; étaient des asaa m - biées religieuses plus que politiques, 2S0, Sâl.

Ancêtres (Culte des), IS-SO, 30, S1-3S.

Annales. Usage général des annales chez les ancien. ; elles étaiest rédigées par les prêtres et basaient partie de la religion, 108-203.

Applicatlo, Ju9 applicationiê, |]9, n. &; 273.

ArchiTes des villes, 300.

Archontes àesiii^, lis, 148, 288. Archontes des Tilles, 310; le titre d'ar- chonte était d'abord synonyme de celui de roi, 203; fonctions religieuses des ar- chontes, 210; leur pouvoir judiciaire, 220 ; comment ils étaient élus, 212, 313 ; leur autorité est peu à peu réduite, 378 ; ce qu'ils deviennent sous l'empire ro- main, Ml.

Ariatooratle. Aristocratie héréditaire des patriciens, des Eupatrides, des p«- aO.tti, des Oéomores, ete., 271-370, 297-301. La distinction des classes est d'à bord fondée sur la religion, 281; l'aristocratie de naissance s'appuie sur le sacerdocr' héré<litaire, 397. Cette aristocratie disparaît plus Urd, 336-337 ; il se forme «ne aristocratie ie richesse, 380 et but. Aristocratie Spartiate, 385-287, 407-411.

Année. Actes religiesx qui s'accomplissaient dans les armées grecques et rn. maines, 191-193. L'arm&e était organisée primitivement, comme la cit^, en fien tet et en curies, en t^ et an phratries, 144. Cbangemeots opérés par Servius T oi- llus dans la constitution de l'armée, 319, 340-342; sens du mol elas$u, 340; efi Orèce, comme à Borne, la cavalerie était un corps aristocratique, 328, 327. La na^ ture de l'armée cbaoge avec la coustitation ds la cité, 337-386. L'armée romai n<, forme une assombiée politique, 341-343. Pendant la domination de la cl.nyist riche, en Grèce comme ï Rome, Isa raaca dias l'armée fure fixé? d'apr<u .-< richesse. W* tll.

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