Page:Fustel de Coulanges - La Cité antique, 1920.djvu/477

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

TABLE ANALYTIQUE. ^469

Fanollta. Sens de ca mot, 118.

Famille. Sa religion, 7-38 ; bod indépendance religiense, 36 ; ce qui en Faisait le lien, 39, 40; avait l'obligation de «e perpétuer, 49. — Noms de famiile chez loi Romains et les Grecs, 122-123. — Changements dans la constitulicin delà fa»)ill e. 301 et suiT. — Division de la gen$ en familles, 303 et suiv.

Féciaox dans les villes italiennes, n^fui*; et spendophom duu iM villes grecques, 191,245-247.

Femme. Son rôle dans la religion domestique, 38, 4|t, 94-95, 108. Son rdk dans la famille, 94. Le régime dotal fut longtemps inconnu, lOO. La femme toujours «n tutelle, 94. Elle ne pouvait paraître en justice, lOi ; n'était pas justiciable de la cité, 102; était jugée, d'abord par son mari, plus lard par un tribunal domestique, 102. Son titre de maler faiftilias, 108. La femme obtient peu à peu des droits à l'héritage, 372-373, et la possession de sa dot, 374. ParAntèpar les femmes, 61, 63, 873.

Fériés latines, 2SX.

Feu sacré, 21 etsaiv

Fille. La Glle, d'après les aocKonea eroyanccs, <>tait réputée inférieore an Gis, 53-54; mariée, elle n'héritait pas de son père, 78, 81. La fille lit(x).r|fo(, 81-83.

Fondation des villes, cérémonie religieuse, 151-160.

Fondateur (Culte du), 161 et suiv.

Formules. Puissance des formules, 176, note 4; formalss magiques 376; for- mules d'évocation des dieui, 176.

Foyer. Le foyer était un autsl, un objet divin, 21 et suiv. ; rites prescrits pour l'entretien du feu sacré, 21-22; le foyer ne pouvait pas être changé de place, 64; prières qu'on lui adressait, 21, 22; antiquité de ce cult«, 35; sa relation avec U culte des morts, 29-31. Influence que ce culte a exercée sur la morale, 104-110. — Foyer public ou prytanée, 166 et suiv. Foyer transporté, dans les armées, iSi- 193. — Le culte du foyer perd son crédit, 416 et suiv.

Ttvof grec analogue à la gens romaine, Ut et suiv. ; le t<<i*{ à Athènes, 115; T<vo;des Brytides, 113. Culte intérieur du ihot, 113; son tombeau commun, 114; son chef, 115. Le ^ivot perd son importance politique, 336-337".

Qens. Sens de ce mot, US. La genê était la vraie famille, 119-121. Culte intérieur delà gens, 113; son tombeau commun, 114 ; solidarité de ses membres, 115-122. Le nomen geniililium, 122-133. Le chef de la gens, 115; comment la gens s'est démembrée, 120, 301 et suiv. Les gentcs plébéiennes, 111, 279, note 3, 353-359. Transformations successives et disnarition du régime de la gens, 302 et suiv,

Gentiles. Lien de culte entre eux, 113-114; lien de droit, 114*1 Ik; l«0«nhii lait plus proche que le cognât, ilk. — DU gentiles^ 114.

GentUitô. 121, 367.

CKierre. Caractères de la guerre chez les anciens, 343-34S.

Héliastes à Athènes, 395, note.

Hères suus et necetsarius. Sens de ces mots en droit romain, 11.

Héros, âmes des morts, 20; étaient les mêmes que les Lares et les Géuias, idtcC.; héros éponxmsi IM; héros nationaux, 168-171,18%.

�� �