Page:Géraldy - Toi et Moi, 1922.djvu/144

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Mais t’éventant avec ma lettre sans la rompre,
ayant vérifié l’adresse d’un regard,
peut-être diras-tu, pour ne pas t’interrompre :
« Ce n’est rien… Ce n’est rien… Je lirai ça plus tard… »