Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/55

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Quand une rude main aura tranché ta tige, — ainsi le veut, hélas ! la loi des jardiniers, — une haleine grossière achèvera ton sort.

Ne te montre jamais : quelque tyran te guette. Pour vivre plus longtemps retarde ta naissance, car devancer ta vie c’est courir à ta mort.