Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/57

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Quand, ô clair soleil plein d’envie, ta lumière, en me venant blesser les yeux, tua ma gloire et mon bonheur.

Si les dieux ne sont pas assez puissants pour empêcher tes rayons de me causer tant de chagrin, que ces rayons te donnent alors, comme à ton fils, la mort.