Page:Gaboriau - Les Gens de bureau, Dentu, 1877.djvu/12

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


II


Les hautes influences qu’avait fait jour Caldas lui garantissaient sa réception dans un rang honorable. Aussi n’essaya-t-il pas d’entreprendre quoi que ce soit, et son tailleur étant venu lui présenter une petite facture, il lui promit de le payer le jour où il toucherait des appointements.

Et il attendit.

Il attendit huit jours, un mois, six mois…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Après quoi il prit son chapeau et se rendit au Ministère afin d’avoir des nouvelles de son examen.

— Vous êtes reçu, lui dit un employé très-complai-