Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/73

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Il a fait nuit… Je t’aime encore.
Suis-je sentimental ! Là-bas,
L’aurore laisse, la pécore,
Tithon tirer ses bas.

Dans sa jupe bouffante
Croisant ses pieds nerveux
Elle rit, triomphante,
Sous ses mauves cheveux.

Sous tes cheveux crespés de reine,
Tu voudrais bouder, mon ennui,
Lorsque le parc achève à peine
Son rêve de la nuit.