Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/91

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J’ai mon cœur comme un autre
Mais je hais, tu le sais,
Ces airs de faux apôtre
Des amants compassés.

Ah ! fuyons la tendresse errante
Des rossignols et du parc noir,
À t’y sentir indifférente
Je t’aimerais, ce soir…