Page:Gautier - L’Usurpateur, tome 2.djvu/197

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des convenances. Et puis ma rage tombait devant une pensée d’amour qui m’envahissait. J’espérais qu’elle allait venir, la jeune fille qui est toute mon espérance ; je fouillais la salle d’un regard avide. Elle n’est pas venue ! Tout est fini, tout est tristesse en mon esprit, et cette vie qu’elle m’a conservée, je voudrais m’en délivrer à présent !