Page:Gautier - La Conquête du paradis.djvu/401

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oublie le roi ; je ne le demande pas ce qui t’amène, ni quels sont les papiers que tu portes.

— Ce sont les propositions de paix de Balladji-Rao, dit le marquis ; j’ai fait avertir Rugoonat-Dat de me rejoindre auprès de toi, afin que nous puissions, sous tes ordres, arrêter les conditions.

La belle et douce figure du brahmane parut à l’entrée de la tente.

— Il m’aime, vizir, et c’est grâce à toi, s’écria le roi ; tu peux me demander, pour cela, telle faveur que tu voudras !