Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/115

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

La femme, dans la splendeur de sa beauté, est pareille au vent tiède d’août : elle rafraîchit et parfume notre vie ;

Mais, lorsque la soie blanche de l’âge couvre sa tête, nous la fuyons comme le vent d’hiver.