Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/139

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Mais j’ai cru entendre le bruit des pas de son cheval, et je me suis levée toute joyeuse ; c’était mon cœur qui, en battant trop vite, imitait le bruit des pas de son cheval.

Je me suis remise à mon ouvrage près de la fenêtre, et mes larmes ont brodé de perles l’étoffe tendue sur le métier.