Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/163

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Les nuages se balancent au-dessus de sa tête ; il les regarde se rejoindre et voiler le ciel.

Alors il chante tristement que l’automne approche, que le vent devient frais, que le printemps prochain est éloigné encore.

Et les promeneurs qui viennent admirer la beauté de la nature l’entourent en battant des mains, et ils s’écrient : « Voici assurément un homme qui est fou ! »