Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/87

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Et les papillons légers se mêlent à leur gaieté.

Mais, un matin d’automne, j’ai regardé la montagne : les sapins, tout habillés de blanc, étaient là, graves et rêveurs.

J’ai eu beau chercher au bas de la montagne, je n’ai pas vu les petites fleurs moqueuses.