Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/34

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tement, à lui faire croire qu’elle les avait toujours vues. Elle se montrait à la fois curieuse de tout et familière avec tout. Elle vécut ainsi naïvement les plus charmantes, les plus délicieuses journées de découverte du dehors, de création d’elle-même. En elle s’épanouit le bonheur ignoré de l’ingénuité.