Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/54

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physionomie. Son visage aux traits réguliers devint atroce, la ruse même s’effaça, pour laisser leur libre déploiement aux instincts, les yeux paraissaient vouloir tuer ce qu’ils regardaient comme hostile et gênant, la bouche s’ouvrait sans cesse d’un mouvement de morsure. Les mains énormes et velues se crispaient en pattes d’animal féroce. C’est dans ces pattes qu’était tombée la délicate Hermine.