Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/87

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

autres, — qu’était tréjous gai, raide plaisant !

Il ne pouvait être à la fois grand et petit, mais on avait pu le voir triste et gai tour à tour.

— L’y avait de bés yeux bleus, — disait-on encore.

— Un peu noirs, — rectifiaient de mieux informés.

Hermine apprit pourtant que Jean allait parfois visiter le père Bazoge, qui avait vécu avec une femme du village, de bonne humeur et de mœurs légères, surnommée la Guillerette.

Le père Bazoge était mort depuis un an. Hermine se rendit donc chez Geneviève, dite la Guillerette, qui vivait maintenant avec le père Nallier. Elle lui demanda si elle se souvenait du pauvre enfant que l’on avait trouvé pendu à une poutre du grenier des Gilquin.

— Le père Bazoge était parrain d’un