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MÉMENTO DU MOIS DE MAI 175
ledda (Grazia). — Dans le Désert {iradviciioTï. de Marc Hélys.) rault (Jean). — La Fiancée de Brumaire. isquet (Louise). — Thérèse Dalhran.
Hamp (Pierre). — Le Rail, « la peine des hommes ».
Ibanez (Vicente Blaseo). — U Intrus (traduction de Renée Lafont).
Lachèse (Marthe). — La Violoniste.
Laurent (Hélène). — Marthe Praval.
Legendre (Mary- Anne). — Sacrifiée.
Mallarmé (Camille). — Le Ressac.
Maricourt (André de). — L'Oncle Praline.
Morel (Jacques). — Feuilles mortes.
Morrisson (Arthur). — Le Mystère de la Tortue, adapté de l'anglais par M. René Lecuyer.
Niepce (Gaston). — C'était V Automne.
Peladan, — La Theriaque, roman précédé de « la morale dans le roman ».
Porret (Max E.). — Mini Lalouet.
Saint-Germain (Addy de). — Choisir.
Schewœbel (Joseph). — A la Cinquième Prière, « roman tuni- sien ».
Star (Maria). — Qui l'emporte?
Toudouze (Gustave). — Le Vertige dans VInconnu.
Villemagne (Alix de). — Hors de sa Race.
HISTOIRE. — LITTÉRATURE. THEATRE. — POESIE. — POLITIQUE. — DIVERS
Abbas (Paul). — Prem,ière Paroisse, un livre où l'auteur nous raconte ses débuts de jeune curé; bonne occasion pour faire un tableau de l'état actuel du Catholicisme en France.
Allem (Maurice). — Alfred de Vigny.
L'Epopée napoléonienne dans la Poésie française, un livre très judicieusement composé, pour lequel M. Frédéric Masson a écrit une vibrante préface.
Augé-Laribé (Michel). — L'Evolution de la France agricole. C'est un sujet sévère, mais qui s'impose à nos préoccupa- tions; on s'en rendra compte en lisant ^ou^Tage très pré- cis, très bien construit, où M. Michel Augé-Laribé a étudié, en utilisant une documentation aussi complète et aussi récente que possible, la situation économique de l'agricul- ture, les progrès des techniques, la répartition de la pro- priété, la dépopulation rurale, les associations, le dévelop- pement du socielisme agraire et la fonction politique et morale de la démocratie paysanne. Ses conclusions ne témoignent point d'un très grand optimisme : « C'est avec quelcjue inquiétude que nous confions nos derniers espoirs à l'élite paysanne qui s'éduque dans les syndicats, les coo- pératives et les mutualités. »