Page:Glatigny - Le Fer rouge, 1870.djvu/36

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Ainsi que l’alouette
     Au bord du champ,
Le paisible poëte
     Et dominant l’Fera son chant.

De sa voix attendrie
     Il redira
Ton angoisse, ô patrie !
     Il chantera

Ta grandeur dans l’épreuve
     Et ton courroux,
Et tes voiles de veuve,
     Sacrés pour tous.