Page:Gleason - Premier péché, 1902.djvu/36

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
36
Premier Péché

sous la toge, soit toujours brûlant d’amour national ; que cette flamme bien intense, les guide sur la route du devoir chaleur ardente qui ne laissera jamais refroidir leur vaillance !

Dans cinquante ans, Universitaires, nos amis, vous rappelant le cher petit béret, vous résumerez encore le passé, le présent et l’avenir dans ce chant de la patrie :

« Ô Canada, mon pays, mes amours ! »