Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/138

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BRANDER.

Double cochon !

FROSCH.

Vous le voulez, j’en conviens.

BRANDER.

À la porte les querelleurs ! Qu’on chante la ronde à gorge déployée, qu’on boive, et qu’on crie ! oh ! hé ! holà ! oh !


ALTMAYER.

Ah Dieu ! je suis perdu ! Apportez du coton ; le drôle me rompt les oreilles !


SIEBEL.

Quand la voûte résonne, on peut juger du volume de la basse.


FROSCH.

C’est juste, à la porte ceux qui prendraient mal les choses ! A ! tara lara da !


ALTMAYER.

A ! tara lara da !