Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/285

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pos. On passe à une danse nouvelle ; viens maintenant, nous les prendrons.

FAUST, dansant avec la jeune.

Hier, un aimable mensonge
Me fit voir un jeune arbre en songe,
Deux beaux fruits y semblaient briller ;
J’y montai : c’était un pommier.

LA BELLE.

Les deux pommes de votre rêve
Sont celles de notre mère Ève ;
Mais vous voyez que le destin
Les mit aussi dans mon jardin.

MÉPHISTOPHÉLÈS, avec la vieille.

Hier, un dégoûtant mensonge
Me fit voir un vieux arbre en songe.
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LA VIEILLE.

Salut ! qu’il soit le bien venu,
Le chevalier au pied cornu !
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