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mais il ne peut m’appartenir désormais. Dès que je veux m’approcher de toi, il me semble toujours que tu me repousses ! Et c’est bien toi pourtant, et ton regard a tant de bonté et de tendresse.
FAUST.
Puisque tu sens que je suis là, viens donc !
MARGUERITE.
Dehors ?
FAUST.
À la liberté.
MARGUERITE.
Dehors, c’est le tombeau ! c’est la mort qui me guette !… Viens ! d’ici dans la couche de l’éternel repos, et pas un pas plus loin. — Tu t’éloignes ! ô Henri ! si je pouvais te suivre !
FAUST.
Tu le peux ! veuille-le seulement, la porte est ouverte.
MARGUERITE.
Je n’ose sortir, il ne me reste plus rien à espérer, et, pour moi, de quelle utilité