Page:Goncourt - Journal, t5, 1891.djvu/272

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mon cher, si je n’avais pas de femme, si je n’avais pas d’enfants, si je n’étais pas père et grand-père, je ne peindrais plus. Je me déferais de mon hôtel, je prendrais un petit logement dans un quartier lointain et tranquille… j’achèterais de grandes bottes fourrées… et, ayant ainsi bien chaud aux pieds, je passerais le reste de ma vie à noircir du papier. »