Page:Goncourt - Les Frères Zemganno, 1879.djvu/293

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Car la Tompkins continuait à regarder Nello tout le temps qu’elle se trouvait dans l’arène en même temps que lui, mais maintenant, avec, dans son regard, un ressentiment presque inquiétant.

« Laisse-la donc tranquille, — disait un soir à Nello le clown Tiffany, — vois-tu, moi, à ta place, j’aurais peur de l’œil de cette femme ! »