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OBLOMOFF.

Une autre fois, chez l’Allemand apparaît tout à coup Anntipka avec le pie de notre connaissance : il vient prendre Élie au milieu ou au commencement de la semaine.

— Maria Savichna ou Nathalia Thadéevna est chez nous en visite pour quelques jours, ou bien les Kouzofkovi avec tous leurs enfants ; pour lors venez à la maison, s’il vous plaît.

Et durant trois semaines Ilioucha est en visite chez lui. Puis c’est la semaine sainte qui arrive dans quelques jours, puis la fête de Pâques ; puis quelqu’un de la famille décide, on ne sait pourquoi, qu’on n’étudie point la semaine de Quasimodo.

Il ne reste plus que quinze jours jusqu’à l’été, ça ne vaut pas la peine d’aller à l’école, et en été l’Allemand lui-même se repose, dès lors il vaut mieux remettre à l’automne. De cette manière, le jeune Élie perd la moitié de l’année : et comme il grandit pendant ce temps ! comme il se fortifie ! comme il dort bien !

On ne se lasse pas de l’admirer tant qu’il est à la maison, et on remarque que les samedis, quand il revient de chez l’Allemand, l’enfant est maigre et pâle.

— Un malheur est si vite arrivé ! disaient le père et la mère : on a toujours le temps d’apprendre, et la santé ne s’achète pas ; la santé, c’est ce que l’on a de plus précieux au monde ! Voyez, il revient de