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— Attends donc, attends ; je l’apprendrai à déranger ainsi le barine quand il a envie de se reposer.
Zakhare se sauva à toutes jambes, mais au troisième pas Oblomoff secoua tout à fait son sommeil et commença à se détirer en bâillant.
— Donne… du kwas… dit-il entre deux bâillements.
Zakhare lui apporta un grand verre de kwas.
Oblomoff le vida d’un trait et c’est ainsi que, complètement éveillé, il se décida à s’habiller et à commencer sa journée à quatre heures et demie du soir.
FIN.