Page:Gozlan - Balzac en pantoufles, 1865.djvu/306

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CHAPITRE X
Quelques années en arrière. — Balzac rêve la destruction de la Revue de Paris, et de la Revue des Deux-Mondes. — Fondation laborieuse de la Chronique de Paris, 1834. — Supplice de l’inventeur du nouveau journal. — Peu de bailleur de fonds. — Le messie. — Le fils de vingt-deux millions. — Il ne promet rien, mais il laisse beaucoup espérer. — L’argenterie retirée du Mont-de-Piété. — Festin servi avec cette argenterie. — La parole est au jeune banquier. — Il en abuse. — L’idiot mystifie les hommes de génie. — J’en parlerai à papa ! — Reportez les couverts au Mont-de-Piété ! — Apparition de la Chronique de Paris 
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CHAPITRE XI
Balzac rêve maintenant la gloire du barreau. — L’assassin Peytel. — Arrêt de la cour d’assises qui le condamne à la peine de mort. — Mémoire de Balzac en sa faveur. — Résultat de cette campagne extra-littéraire 
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CHAPITRE XII
Le grand mot lâché. — Budget littéraire de Balzac. — Un million dans un pot à beurre. — Le déficit Kessner. — Les Méduses des Jardies 
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CHAPITRE XIII
Un nouveau cercle de Popilius. — Balzac et le garde champêtre de Ville-d’Avray. — Récréations de grands enfants. — Expéditions contre le burg du voisin 
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