Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 3, A. Lemerle, 1845.djvu/277

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La crise.


Paquerette était seule, à côté d’elle veillait une lampe, dernière clarté qui avait frappé ses yeux sur la terre. Glenmour saisit la morte, la souleva, et après avoir éteint la lampe, il descendit furtivement avec son triste fardeau à l’appartement de sa femme. L’escalier était obscur ; tous les domestiques dormaient. On ne vit, on n’entendit rien.

Glenmour déposa la jeune morte sur le di-