Il est aussi l’auteur d’une brochure : Aux amateurs de violon. Actuellement rue du Faubourg-Poissonnière, 21, M. Simoutre s’est associé son fils et élève, qui le seconde dans ses travaux artistiques. Très bonne lutherie :
Socquet (Louis). — Paris, 1730-1779. Étiquette manuscrite relevée dans une charmante viole d’amour :
fait par Louis Socquet
à Paris en 1750.
Plus tard, il se servit d’étiquettes lithographiées :
Un alto de ce luthier, portant la date de 1779. figure sur l’inventaire de Bruni.
Vidal parle d’un Socquet qui travaillait à Paris au commencement du xixe siècle, et dont les instruments étaient peu estimés. Nous ne savons s’il était de la même famille que celui-ci.
Steininger François). — Paris. Première moitié du xixe siècle. Bonne lutherie. Étiquette manuscrite :
F. Steininger
Paris, 1827.
Il tenta d’améliorer les cordes basses du violon, en renforçant la table près de la barre d’harmonie.