Aller au contenu

Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/184

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
174
remember.


Mon cœur sent, d’innocence intime refleuri,
Une sève abonder, laquelle avait tari
Aux desséchants reflets du brasier de la vie.

Frissons, vous revoici, que je croyais défunts ;
Et mon âme s’enivre, éperdue et ravie,
Du charme renaissant des anciens parfums.


Décembre 1883.