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Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/224

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eaux-fortes et pastels.

Et tel, lorsque sourit sur tes lèvres mi-closes
Un silence. Très Chère, eh bien ! je le comprends ;
Tu ne dis rien, mais tes grands yeux sont transparents,
Et dans le calme alanguissant que je respire,
— Doux comme un crépuscule — à vivre en ton empire,
Je me crois transporté sous un vert firmament
Vespéral, où Phœbé met son enchantement.


Février 1884.